La protection de notre milieu de vie est devenue notre souci premier, puisque nous avons acquis la capacité, non seulement de polluer, mais aussi de détruire à l’échelle planétaire.
Qui est responsable ? Est-ce le judéo-christianisme avec son invitation à dominer et à exploiter la nature ? Est-ce l’humanisme avec sa notion optimiste de progrès ?
Quoi qu’il en soit, que faire ? Les « verts », eux, se mobilisent. D’autres proposent une religion « holiste » de communion mystique entre l’homme et la nature. Etc.
Jochem Douma, professeur d’éthique à Kampen, aux Pays-Bas, propose une approche prometteuse aux larges perspectives : si l’homme vit en harmonie avec Dieu, il découvre quelle est sa vraie position dans la nature, le secret d’une sagesse active et, de surcroît, une espérance.