Controversiste et porte-parole du Christianisme de renommée mondiale, John Montgomery est entré en controverse avec des représentants de la théologie libérale tels que Thomas Alitzer, théologien de la mort de Dieu, feu l’évêque James Pike, Joseph Fletcher, avocat de la Nouvelle Moralité et Madelyn M. O’Hare. Il fut l’orateur principal lors du congrès de fondation de la Société d’Apologétique de Nouvelle Zélande. Il ne cesse de promouvoir une apologétique chrétienne d’envergure mondiale.

Il va sans dire que l’enseignement a été un facteur primordial de la vie et du ministère de John Montgomery. Il obtint tout d’abord un premier diplôme en philosophie de Cornell University. C’est tandis qu’il le préparait qu’il fut conduit à examiner avec soin les prétentions du Jésus du Nouveau Testament. Il voulait ainsi préserver son intégrité intellectuelle. Comprenant finalement (grâce aux efforts d’un collègue étudiant) que les preuves de la foi chrétienne ne sauraient être ignorées, John Montgomery accueillit Jésus-Christ comme son Sauveur et mit à défendre le christianisme, toute l’intelligence analytique qu’il avait déployée pour l’explorer. Il obtint sept autres diplômes en histoire, théologie et bibliographie, y compris deux doctorats mérités, dès l’âge de trente trois ans. Ses études l’ont ensuite conduit à l’Université de Bekerley, Californie, et jusqu’à l’Université de Strasbourg. Il a, partout, rendu témoignage de sa foi.

En plus de ses contributions par la radio, la télévision, les débats, l’enseignement et de nombreux écrits, il faut citer un autre aspect du service que John Montgomery rend à la communauté chrétienne : sa pratique privée du droit.